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| Chaboud, C.; Kébé, M.; Diop, H.; Lawal, H.S.. |
| Le Centre National de Recherches Oceanographiques et des Pêches de Nouadhibou (CNROP) entreprend chaque semestre un recensement exhaustif des unités de pêche artisanale opérant sur le littoral mauritanien. En juillet 1987 une enquête socio- 6conomique a été effectuée. Les informations recueillies portent sur les pirogues en état de prendre la mer, les migrations de pêcheurs, l'emploi et l'activité au cours des trois derniers mois,le capital technique, les équipages et l'organisation sociogconomique des unités de pêche. La pêche artisanale mauritanienne compte actuellement 735 embarcations réparties sur 22 points de débarquement. Elle génère 3302 emplois directs. |
| Tipo: Journal Contribution |
Palavras-chave: Artisanal fishing; Migrations. |
| Ano: 1988 |
URL: http://hdl.handle.net/1834/4672 |
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| Diop, H.; Ould Mohamed Vall, M.. |
| Résumé : Au mois de mars 1989, 770 embarcations employant 3537 pêcheurs ont été recensées, tandis qu’au mois d’août de la même année seules 540 embarcations ont été recensées. Ces dernières emploient 2236 pêcheurs, soit une diminution du parc d’embarcation de 30% et de l’effectif des pêcheurs de 38%. Les « Imraguen » commencent à diversifier leur technique de pêche en utilisant de nouveaux engins. La pêche artisanale intéresse de plus en plus les mauritaniens qui n’ont pas une tradition de pêche. En effet, des pêcheurs originaires des régions de l’intérieur de la Mauritanie représentaient 10% de l’effectif en février 1989 et 34% en août 1989. # |
| Tipo: Journal Contribution |
Palavras-chave: Small scale fishing; Artisanal fishing. |
| Ano: 1990 |
URL: http://hdl.handle.net/1834/813 |
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| Diop, H.; Thiam, I.. |
| Résumé : Pêche de subsistance depuis le 15ème siècle, c’est seulement aux indépendances que l’on note des peuplements littoraux qui s’adonnent à la pêche artisanale en Mauritanie dans le cadre d’une économie de marché. Grâce aux flux migratoires on note une présence de pêcheurs étrangers qui contribuent au développement de ce secteur en introduisant des nouvelles techniques (engins, embarcations) et organisations. Ces pêcheurs (mauritaniens et étrangers), en majorité Wolofs, composent l’essentiel des effectifs présents sur la façade maritime mauritanienne. Avec les Imraguen, ils travaillent en complémentarité car n’exploitant pas les mêmes espèces de poisson. # |
| Tipo: Journal Contribution |
Palavras-chave: Small scale fishing; Artisanal fishing; Fishermen. |
| Ano: 1990 |
URL: http://hdl.handle.net/1834/810 |
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