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Priol, E.p.. |
En France, il n'existe pas un seul port sur l'Atlantique qui pratique la pêche industrielle du hareng qui semble réservée aux ports de la Manche : Boulogne. Fécamp et Dieppe. Pourtant les Lorientais pourraient, aussi bien que les Boulonnais, par exemple, exploiter certains lieux de pêche de ce clupéide : Small's ou Inishtrahul... Ils ne capturent pas le hareng, pas plus qu'ils ne recherchent le maquereau, au chalut : ils le fuient dans la mesure du possible. Pour les chalutiers bretons le hareng est nul et non avenu et ce clupe n'est guère connu dans cette contrée que sous la forme de "saur". En ce qui concerne le Morbihan qui nous intéresse, le hareng pourrait être capturé en quantités industrielles pendant la fin de l'automne et le début de l'hiver,... |
Tipo: Text |
Palavras-chave: Histoire Ifremer. |
Ano: 1937 |
URL: http://archimer.ifremer.fr/doc/1937/publication-5745.pdf |
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Priol, E.p.. |
Le premier engin de ce genre qui fit son apparition en eaux bretonnes, fut la grande senne Belot. en 1873. Elle fut proscrite dès 1878, les captures trop abondantes ayant provoqué l'effondrement des cours. Cette première senne avait pour unique objet la pêche des sprats, toujours abondants en baie de Douarnenez à longueur d'année, surtout pendant la période hivernale. Or, la baie d'Audierne, plus ouverte, voit la disparition totale (ou presque) des clupéides en décembre ou janvier, mois où, en période normale, l'activité de la pèche du sprat atteint son maximum à Douarnenez. Dès la fin du 19me siècle, des essais furent tentés par les pêcheurs de St-Guénolé pour capturer la sardine qui abonde en baie d'Audierne pendant la période automnale, tandis que les... |
Tipo: Text |
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Ano: 1949 |
URL: http://archimer.ifremer.fr/doc/00041/15229/12547.pdf |
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