Depuis plusieurs années l'écosystème conchylicole de Marennes-Oléron est l' objet de modélisations de complexité croissante qui tendent à intégrer de plus en plus de processus physiques et biologiques (Bacher, 1989 ; Raillard, 1991) afin d'accroître le réalisme et le champ d'investigation de l'outil (Héral et al., 1991 ) . Confrontés au problème de la variabilité spatiale et temporelle des concentrations du matériel dissous et particulaire de l'eau, les travaux les plus récents ont pu mettre en évidence les limitations des modèles d'écosystème qui asservissent spatialement et temporellement la représentation des processus physiques à celle des mécanismes biologiques (Raillard, 1991). Le but de cette étude est de développer une modélisation de l'écosystème... |