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Le transfert en mer de post-larves de coquille Saint-Jacques depuis la nurserie, à terre, jusqu'à la station de prégrossissement, en mer, provoque de faibles survies : 20 à 50 % L'étude du passage en mer montre 2 stress élémentaires principaux : la dé-fixation des post-larves et leur émersion pendant le transport (l'effet des chocs thermiques n'a pas été étudié ici). Quelques comparaisons de lots de post-larves dé-fixées ou émergées, montrent que la cause principale de mortalité serait la dé-fixation. La dernière partie de cette étude aborde des essais de transfert sans dé-fixation, à l'aide de supports-collecteurs immergés pendant l'élevage post-larvaire. Les survies au passage en mer apparaissent beaucoup plus satisfaisantes (64 à 100 % dans la plupart des cas) . Mais la colonisation de ces supports reste largement à améliorer : 4 à 22 % .
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