| La côte togolaise, basse et sableuse, soumise è une violente érosion par suite d'une série d'erreurs d'aménagements, a fait l'objet en 1987-1988 d'importants travaux destin's à protéger sur 15 km la ville d'Aného et l'usine de phosphates de Kpémé, principale industrie du pays. La préparation de ces travaux, de protection, rendus indispensables par la gravité des enjeux économiques et sociaux, a nécessité des études hydrologiques et sédimentologiques très détaillées, ainsi que la construction et l'exploitation par un bureau d'étude spécialisé de deux importants modèles physique (32 x 20 m) destinés à optimiser le dispositif de protection et à déterminer l'évolution du trait de côte sur une période de 25 ans... |
