Au niveau haploïde, l’effet du gène ig se révèle de la même intensité qu’au niveau diploide, infirmant le résultat de taux exceptionnel obtenu par ailleurs. Ceci écarte la manipulation du gène ig à l’état haploïde dans un processus de routine. Au niveau diploïde, l’environnement génétique du gène ig a une forte influence sur l’aptitude à induire des haploïdes paternels. En rétrocroisements à partir de la lignée W23 ig avec des lignées récurrentes plus ou moins apparentées à la population Golden glow d’origine, les effets pléiotropiques du gène ig se retrouvent diversement. Si la stérilité mâle manifestée à l’état homozygote est toujours présente, les autres effets, dont la polyembryonie, sont perdus dès le croisement initial avec les lignées de la même... |